Se rendre au Louvre
Pour se rendre au musée en métro, il est possible d’utiliser les lignes 1 (arrêt Palais Royal), 7 (arrêt Musée du Louvre) et 14 (arrêt Pyramide). Plusieurs lignes de bus sont également disponibles ; il s’agit des lignes 21, 27, 39, 67, 68, 69, 72, 74, 85 et 95.
En ce qui concerne les visiteurs véhiculés, un parking est disponible au 1 avenue Général-Lemonnier et est ouvert de 7h à 23h. Ce parking est accessible pour la galerie commerciales du Carrousel du Louvre.
Horaires
• Lundi / Mercredi / Jeudi / Samedi / Dimanche : 9h-18h
• Vendredi : 9h-21h45
• Mardi : fermé
Tarifs
• Tarif en ligne : 17€
• Tarif sur place : 15€ (dans la limite des places disponibles)
• Moins de 18 ans / moins de 26 ans résidant d’un pays de l’espace économique européen (EEE) : gratuit sur présentation d’une pièce d’identité
Autres conditions de gratuité
• Élèves des établissements suivants : École du Louvre, Institut National du Patrimoine, École Nationale des Chartes, École Nationale des Beaux Arts de Paris
• Demandeurs d’emploi : sur présentation d’un justificatif de moins d’un an ou indiquant une période de validité accompagné d’une pièce d’identité.
• Bénéficiaires des minima sociaux : sur présentation d’un justificatif (attestation d’allocation au RSA, Complémentaire santé solidaire, carte solidarité transport…) de moins de un an de l’organisme dont ils relèvent
• Visiteurs handicapés et leur accompagnateur
La Pyramide
L’entrée principale est celle de La Pyramide, et ce pour deux raisons. Tout d’abord parce que c’est la plus accessible : elle permet aux visiteurs d’entrer dans le Louvre qu’ils soient munis d’un billet ou non et elle est également accessible aux visiteurs à mobilité réduite ou étant équipé d’une poussette pour leur enfant.
La seconde raison est probablement celle envisagée par le plus de personnes. La Pyramide étant tellement associée à l’image du musée que chacun y va de sa petite photo et opte pour l’opportunité de passer sous sa fameuse structure lorsque l’occasion s’y prête.
Esplanade du Louvre
Photo de l’esplanade du Louvre prise par Marjorie Eclar.
Intérieur de la Pyramide
Photo de l’intérieur de la Pyramide du Louvre prise par Marjorie Eclar.
D’ailleurs, saviez-vous que la Pyramide avait été construite bien après le musée en lui-même ? En effet, sa construction a fait partie du projet « Grand Louvre » mené par François Mitterand en 1981 afin de moderniser le palais et d’agrandir le musée. Cela a conduit à deux événements : la transformation de l’aile Richelieu (qui accueillait jusque là le Ministère des Finances) et la création de la fameuse pyramide. Cependant comme un autre grand monument français devenu symbole, la construction de la pyramide a causé de nombreuses controverses.
Le choix de l’architecte (le diplômé du MIT Ieoh Meg Pei) ne convainc pas bien qu’il ait construit de nombreux bâtiments et musées aux États-Unis et au Canada tels que l’Everson Museum of Art de Syracuse, le Commerce Court West de Toronto ou encore le John F. Kennedy Presidential Library and Museum de Boston. De plus, une fois les plans dévoilés, une partie de l’opinion publique trouve la réalisation trop moderne pour le style classique Louvre. La structure en verre, acier et aluminium est jugée trop fragile et trop difficile à entretenir (trente ans après la construction, aucune pièce n’a eu besoin d’être changée), les délais de construction sont estimés trop courts et le budget trop élevé. Malgré tout cela, la construction est validée en 1984 et la pyramide ouvre au public le 1er avril 1989.
Même si on parle souvent de la pyramide du Louvre (et avec raison car elle est la troisième œuvre la plus populaire du musée après la Joconde et la Vénus de Milo), il existe en réalité cinq pyramides. La première et la plus grande est la pyramide par laquelle nous pouvons accéder au musée. Ses proportions sont inspirées de la pyramide de Khéops en Egypte et comme dit précédemment, elle est faite de verre, d’acier et d’aluminum. Elle mesure 21 mètres de haut. À ses côtés, on retrouve trois petites répliques dont les emplacements ont été pensés pour qu’elles soient des puits de lumière. Enfin, la cinquième est la pyramide inversée que l’on retrouve dans le Carrousel du Louvre. Elle est construite avec les mêmes matériaux que la pyramide principale et mesure 7 mètres de haut.
L’ouverture de la pyramide a été un véritable succès qui a pris tout le monde de court, y comprit l’architecte. La construction a été conçue pour une affluence estimée entre trois et cinq millions de visiteurs annuels. Mais la popularité regagnée grâce à la pyramide a, au fil des années, fait passer la fréquentation du musée à plus de huit millions de visiteurs par an. Cela a posé plusieurs problèmes au musée notamment un allongement des files à l’entrée et aux billetteries, une augmentation des nuisances sonores et des problèmes d’orientation. Le Louvre a donc lancé le projet « Pyramide » qui s’est achevé en 2016 et qui a permis de réorganiser les accès ainsi que le hall d’entrée. Les efforts ont été payants puisqu’en 2018, le musée a accueilli dix millions de visiteurs, un record historique pour un musée d’art.
Histoire du Louvre
Toutefois, avant d’être un musée fortement apprécié des parisiens et des touristes, le Louvre a vécu de nombreuses vies. Il a été une forteresse, un château a servi à enfermer des prisonniers, a abrité les familles royales et fut même fut même témoin d’affrontements idéologiques jusqu’à l’arrivée des Académies et la création d’un répertoires d’œuvres tels que des tableaux, des sculptures, etc.
La naissance du Louvre
Le forteresse du Louvre naît en 1187 à la demande de Philippe Auguste, monarque reconnu comme autoritaire et religieux qui a régné sur le royaume de France de 1180 à 1223. Un document issu des premiers budgets de la monarchie nous explique que la fin des travaux de la tour du Louvre sont achevés en 1202-1203. Le bâtiment a une fonction militaire : son objectif est de surveiller les ennemis qui pourraient arriver par la Seine, notamment les rois d’Angleterre qui pourraient arriver de Normandie en remontant le fleuve. La construction du Louvre se passe à une époque où la construction de châteaux défensifs permettent de renforcer l’autorité du roi. Paris étant déjà le cœur économique, religieux et politique du royaume, sa défense était donc capitale.
« Le Louvre augustin est basé sur un plan approximativement rectangulaire : il fait 72 mètres sur 78, est composé de 10 tours et d’un donjon aux dimensions impressionnantes, de 32 mètres de hauteur, se dressant au-dessus d’un fossé sec de plusieurs mètres de profondeur. Un pont-levis permet d’accéder à ce donjon. A l’extérieur, les deux seules entrées du château sont tournées vers la ville et gardées par deux châtelets également munis de ponts-levis. […] A l’intérieur de la cour se dressent deux logis au sud et à l’ouest, ce dernier côté étant le plus robuste car le plus exposé aux éventuelles attaques. […] »
Vivien RICHARD
La transformation
Pendant sa vie de palais, le Louvre a hébergé plusieurs monarques et a été le centre de plusieurs changements. Tout d’abord grâce à Charles V (1364-1380) qui à transformé le bâtiment en faisant construire une nouvelle enceinte sur la rive droite de Paris, allant ainsi de paire avec l’élargissement de cette partie de la capitale. Le souverain demande également à ce qu’une nouvelle entrée soit ajoutée afin de pouvoir accéder au jardin royal avant de demander à ce que des baies vitrées soit ajoutées afin d’apporter davantage de lumière au bâtiment. Puis, il fait orner la façade nord d’un escalier dit à vis.
Avec l’arrivée de François 1er (1515-1547), le château fort quitte ses habits médiévaux pour se vêtir de l’apparat digne de la Renaissance que le monarque aimait tant. Au programme des plans de François 1er : fini le donjon, condamnation de l’entrée côté Seine et construction de grandes statues devant la salle Saint Louis. Le fils du souverain conduit les travaux et c’est sa veuve, Catherine de Médicis, qui donnera une nouveau souffle au lieu en faisant se faisant bâtir un nouveau palais qui sera dit des « Tuileries » au delà de la ville au sein d’un vaste domaine qui comprend un également un jardin.
Henri IV (1589-1610) quant à lui a pour projet « d’assoir la domination des Bourbons » et souhaite pour se faire ajouter du cachet au Louvre. Il fait annexer les Tuileries à sa demeure et souhaite par la suite relier le Louvre et les Tuileries par une grande galerie d’une part et redéployer les espaces du Louvre au sein d’une cour centrale beaucoup plus grande. Ce projet connu sous le nom de Grand Dessein n’aboutira que sous le règne de Napoléon III qui logeait aux Tuileries (Vivien Richard). Cependant ce bouleversement n’a été en place que très peu de temps car les Tuileries ont été victimes d’incendies commis par les communards en 1871 et le projet de reconstruction fut abandonné après la mort de son architecte, le célèbre Eugène Viollet-le-Duc. Les ruines seront finalement détruites en 1883 ce qui donnera au Louvre son plan actuel qui ne fut changé qu’un siècle plus tard dans le cadre du projet Grand Louvre porté par François Mitterand dont nous avons parlé précédemment.
Le Louvre, une force culturelle
Comme on a pu le voir, le Louvre a eu une importance politique mais petit à petit c’est bien pour son pouvoir culturel qu’il va être reconnu.
« Dès le règne de Charles V, on fit ainsi installer au Louvre la bibliothèque du roi. Derrière le terme ‘bibliothèque’, c’est tout un ensemble de collections qu’il faut avoir à l’esprit, composé bien sûr principalement de nombreux volumes, le roi en avait jusqu’à 900, mais également différentes collections de curiosités et d’objets d’art. »
Vivien RICHARD
Chef du service histoire du Louvre au sein du musée
Ce lieu, si fortement lié à la force culturelle de la France et étant devenu au fil des années un lieu incontournable de la capitale n’a pourtant pas toujours été bien reçu par les artistes. Dès le XVIIe siècle, il a été au centre des moqueries par des auteurs anonymes qui écriront des pamphlets violents à propos des salons culturels, littéraires pour la plupart, du Louvre. En 1606, Henry IV décide de faire venir des artistes dans la Grande Galerie qui lui sert de salle pour sa collection. Des petites boutiques commencent à voir le jour et les créations artistiques sont de plus en plus abondantes. La salle des Cariatides ornée par quatre statues de femmes sculptées par Jean Goujon devient le témoin privilégié des réceptions organisées par le roi. En octobre 1658, se trouve parmi les invités Molière qui jouera dans cette salle pour la première fois devant le souverain de l’époque, Louis XIV. Dans la deuxième partie du XVIIè siècle jusqu’à la fin du XVIIIe, les rois préfèrent vivre à Versailles. Cela donne aux académiciens l’opportunité de s’installer dans le palais. L’académie des sciences occupe alors les appartements du roi tandis que l’académie de sculpture et de peinture expose les œuvres de ses membres dans le salon carré. Néanmoins, pouvoir politique et culturel ont longtemps continuer à cohabiter puisque le Ministère des Finance est le dernier organisme étatique à se retirer du Louvre en 1989. Les débuts du Louvre en tant que musée commencent dès 1725 lorsque les salons jusque là réservés aux académiciens ouvrent leurs portes au public. Un répertoire d’œuvres commence à se former. En 1793, la Convention supprime les académies et les remplace par la Commune générale des arts et le musée ouvre au public sous le nom de « Museum Central des Arts ».
Ma visite au Louvre
Arrivée dans le musée
J’ai choisi d’aller au Louvre car il s’agissait d’un objectif que j’avais noté dans ma bucket list. De plus, j’ai très souvent eu l’occasion de me rendre au Jardin des Tuileries et de voir la fameuse pyramide de loin mais je ne m’étais jamais aventurer à l’intérieur de l’édifice. Le mois d’octobre étant le mois de mon anniversaire, je me suis dit que cela était une bonne opportunité pour faire partie des 9 millions de visiteurs attendus à avoir arpenté les galeries.
La visite commence au niveau -1 où nous pouvons déjà faire la connaissance de quelques œuvres. J’ai commencé par visiter la petite salle appelée le Cabinet des dessins et des estampes dans lequel on peut découvrir du matériel à dessin. Cela permet aux visiteurs de se plonger dans le monde de la création artistique et de voir les œuvres non seulement à travers le prisme de l’artiste mais également à travers des matériaux utilisés.
La Grèce antique
Après cette entrée en matière, je me suis rendue à l’étage 0 et je me suis plongée dans le monde de l’Antiquité en commençant par la Grèce.
J’ai été impressionnée par la multitude de statues rassemblées dans la salle. Je savais qu’il y en aurai beaucoup mais je ne pensais pas en voir autant et les trouver aussi belles. Je me suis ensuite dirigée vers une des sculptures mises en avant sur le plan : La Venus de Milo. Cette statue représente la déesse Venus et a été découverte en 1820 sur l’île grecque de Milo sans bras. Comme beaucoup, j’ai pu la découvrir sur photo mais la voir en personne m’a permis de pouvoir admirer ses trais et le travail du marbre effectué par Alexandre d’Antioche.
J’ai également été ravie de découvrir plusieurs représentations de la déesse Athéna. Depuis l’enfance, je trouve que c’est une déesse inspirante par sa force et son courage une partie de moi se dit maintenant que je fais partie de ceux qui ont la chance de pouvoir la rencontrer. Enfin, j’ai pu découvrir la magnifique Victoire de Samothrace au détour d’un escalier. Je ne m’attendais pas à la voir et pourtant elle était là, posée sur son piédestal à saluer les passants.





L'Égypte antique
Je savais avant ma visite que le Louvre avait une grande collection d’objets de cette période ; ce qui est la raison pour laquelle j’ai commencé la visite des salles dédiées en ayant des attentes en terme de diversité de contenu. Une fois sur place, j’ai pu admirer une grande diversité de sarcophages et d’objets du quotidien présents en l’honneur de cette époque.
On est accueilli par le Sphinx de Tanis, imposant et impressionnant seul dans sa salle. Il y a également des petits sphinx et des petites statuettes que l’on peut prendre le temps d’admirer. Au fil de la balade, on découvre également la collection de sarcophage impressionnante de musée. Grâce au Louvre, on a l’opportunité de découvrir une multitude de sarcophages sous plusieurs formes : en pierre, en bois, ouverts et fermés. Les sarcophages fermés nous permettent de nous consacrer aux détails sur l’extérieur tandis que les sarcophages ouverts nous permettent de se concentrer sur les détails à l’intérieur des sarcophages.
Enfin, il y a également de nombreux objets à découvrir comme des amphores ou des bijoux. On a tendance penser à l’Egypte en tant que cette civilisation forte d’une histoire riche cependant se concentrer sur les petits objets permet aussi d’essayer de se rapprocher des personnes qui ont vécu à cette époque.
Les bijoux royaux
Après m’être aventurée dans le monde antique, j’ai voulu de voir des œuvres plus contemporaines en allant au niveau 1.
J’ai commencé par aller dans la Galerie d’Apollon. C’est dans cette galerie que l’on retrouve l’héritage royal de la France. On peut voir de nombreux portraits de personnes qui ont un jour formé différentes époques de la famille royale française. Plus impressionnant encore, on peut également admirer les joyaux de la couronne de France. J’ai été très surprise de les découvrir car bizarrement je ne pensais pas qu’ils étaient conservés et encore mons qu’ils seraient dans un musée à la vue de tous.
Galerie d'Apollon
Galerie d’Apollon, Salle 705, Le Louvre, Paris © Marjorie Eclar
Joyaux de la couronne de France
Joyaux de la couronne de France, exposés au Louvre, Paris © Marjorie Eclar
Joyaux de la couronne de France
Joyaux de la couronne de France, exposés au Louvre, Paris © Marjorie Eclar
Le monde de la peinture
Cette partie du musée était beaucoup plus remplie que les autres car certaines des œuvres les plus incontournables sont exposées dans ces pièces. Il faut donc se préparer à être en contact avec beaucoup plus de monde, ce qui peut vite devenir un défi pour les personnes agoraphobes ou peu à l’aise dans les foules. Si c’est votre cas, je vous conseille vivement de commencer par ces salles (qui sont en rouge et au niveau 1 sur la carte) ou d’aller au musée tôt afin d’être à l’aise lors de votre visite.
D’ailleurs, visiter le musée à des horaires où l’affluence est plus faible permet également de profiter de tout ce que le musée a à offrir, sur les murs mais aussi au plafond. En effet, les plafonds mais également les murs des escaliers sont finement décorés et permettent de se plonger encore plus profondément dans le monde de l’art.
Cage d'escalier
Cage d’escalier, Le Louvre, Paris © Marjorie Eclar
Plafond
Plafond, Le Louvre, Paris © Marjorie Eclar
C’est dans ce contexte que j’ai pu découvrir la fameuse Joconde. Je n’était pas sûre de vouloir / pouvoir la voir à cause de l’affluence mais j’ai pris mon mal en patience (il faut faire la queue pour s’approcher du tableau) et j’ai pu découvrir les traits si charismatiques de Mona Lisa de mes propres yeux. J’avoue m’être demandé si son sourire si mystérieux ne nous était pas destiné, à nous, ceux qui avons attendu de longues minutes pour la voir par nous-mêmes.
J’ai ensuite pris le temps d’aller voir deux tableaux qui sont à mes yeux tout aussi mythiques que la Joconde : Le radeau de la méduse de Théodore Géricault et La liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix. Ces tableaux, que j’ai étudiés en cours d’histoire de l’art et en histoire, m’ont toujours fascinés. C’est pourquoi j’ai été ravie de pouvoir les voir en personne même si leur grande taille les rend très impressionnants et difficile à admirer en un seul regard.




Arts décoratifs
J’ai fini ma visite par me rendre dans la partie des art décoratifs qui regroupe des objets et des meubles permettant de s’imaginer l’art de vie à la française sous les règnes de Louis XIV à Louis XVI. Rappelons nous que le Louvre a logé de nombreux monarques et ce pendant de nombreuses années. Cela fait donc sens de retrouver des pièces qui leur sont consacré en plus de la Galerie Apollon dont nous avons parlé plus tôt.
Le roi Louis XIV également connu sous le nom de Roi Soleil est évidemment le point de départ de cette partie du musée, étant connu pour son amour des objets beaux et raffinés. Ainsi, nous pouvons voir beaucoup d’objets ayant appartenu au monarque. Le plus impressionnant selon moi est ce magnifique coffre à pierreries qui correspondrait aujourd’hui à nos boîtes à bijoux. Ce coffre est impressionnant par sa forme ainsi que par la beauté des ornements qui le recouvre. On ne peut pas douter de la beauté et de rareté des pierres contenues dans ce coffret en voyant la beauté du coffret.
Le musée nous offre aussi l’opportunité de découvrir des espaces entièrement décorés comme ils l’auraient été à l’époque. C’est pourquoi nous pouvons découvrir le cabinet turc du comte d’Artois, bureau dans lequel le frère de Louis XVI travaillait.
Il y a aussi de nombreux petits objets à découvrir regroupés par époque, par matériaux et par thématique. Les murs ne sont pas sans reste, tous les endroits permettant de montrer un objet d’époque sont utilisés.
Acheter des souvenirs du Louvre
Une fois la visite effectuée, le musée nous offre plusieurs moyens de repartir avec un petit souvenir ; d’une part, grâce à la boutique qui se trouve au sein du musée dans la salle 701 et matérialisée par un cadeau sur la carte et d’autre part grâce à une boutique placée dans le Carrousel.
Pour ma part, j’ai fait quelques emplettes dans les deux car j’ai pu trouvé des articles dans le Carrousel qui n’étaient pas dans le musée. J’ai donc acheté l’édition du Louvre du fameux Monopoly, une magnet Joconde pour mon frigo, une médaille de collection ainsi que deux cartes postales et deux marques page dont je n’ai pas retrouvé les références mais que voici.